Les interfaces du monde vivant pour des façades bio-inspirées
L’impact environnemental du milieu de la construction et de l’habitat est considérable. Un bâtiment nécessite des techniques et matériaux permettant le maintien d’un microclimat adéquat. Trois différents niveaux de la composition d’un bâtiment peuvent diminuer cet impact écologique grâce à une observation des techniques développées dans le vivant : l’enveloppe des bâtiments ayant de nombreuses fonctions (étanchéité, transfert de chaleur…), le contrôle passif de l’ambiance extérieur à la manière des interfaces biologiques ou encore la transformation et génération d’énergie.
Christophe MÉNÉZO
Laboratoire LOCIE, Université de Savoie
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